Bonjour à tous,
Compte tenu de la période généreuse séparant la création de cette rubrique (Cf. S1. Les enseignants) de mon premier article consacré à un sous-fifre, il put être supputé mon souhait de repousser autant que possible l’emplissage de la présence rubrique.
Compte tenu de la période généreuse séparant la création de cette rubrique (Cf. S1. Les enseignants) de mon premier article consacré à un sous-fifre, il put être supputé mon souhait de repousser autant que possible l’emplissage de la présence rubrique.
Et bien que nenni.
La droiture du Professeur m’impose cet aveu : je cherchais les mots afin que mon secrétaire personnel ébauchât, le plus exactement possible, l’étendue de la sournoiserie de cette doctorante impérieuse qu’est la chargée de TD mesquine.
Résumons-la ci-après :
Sa pédagogie abjecte repose sur l’infantilisation de ses étudiants, qu’elle maintient dans la terreur avec une maîtrise proprement redoutable.
Sa pédagogie abjecte repose sur l’infantilisation de ses étudiants, qu’elle maintient dans la terreur avec une maîtrise proprement redoutable.
Tortionnaire calme et froide, la chargée de TD mesquine prend plaisir à choisir sa victime, parcourant la liste de ses étudiants comme l’enfant potelé fait son choix devant la propre vitrine du confiseur. Ses questions sont subtiles, et augmentent en difficulté à mesure que l’étudiant répond, de sorte qu’est nécessairement atteinte, tôt ou tard, la limite de ses connaissances.
Face au silence progressif de la salle apeurée, elle défie celle-ci en brandissant une arme secrète : le point de participation – lequel s’avère, bien entendu, dans les faits, fort délicat à obtenir.
Ne craignons pas d’énoncer la vérité : la chargée de TD mesquine franchit parfois la limite de l’ignoble, voire même de la méchanceté gratuite.
Quant au ramassage aléatoire des travaux personnels, qu’elle recueillît le travail des mêmes étudiants trois fois de suite, à la seule fin, puisqu’ils se croyaient en sécurité, de leur affubler un zéro, m’impressionna beaucoup.
Nous en parlâmes donc entre collègues.
De l’avis de mon jovial collègue le Maître de conférences triste, ne lui manquait plus, pour être parfaite, que la cravache et la combinaison en latex. Ce fut, curieusement, à cet instant, que mon ami le PRAG détestable fit irruption – de là à se prononcer sur quelque amalgame douteux…
Enfin… Comprenez quel regret me submergea de la voir partir, une fois son contrat d'ATER terminé !
Puisque dotée tant de fourberie dès ses jeunes années, je ne doutais aucunement que la chargée de TD mesquine occupât un jour un poste de Maître de conférences, lequel permettrait qu’elle exploitât au mieux l’étendue de ses compétences pédagogiques.
Pr. Fourbe
Ne craignons pas d’énoncer la vérité : la chargée de TD mesquine franchit parfois la limite de l’ignoble, voire même de la méchanceté gratuite.
Quant au ramassage aléatoire des travaux personnels, qu’elle recueillît le travail des mêmes étudiants trois fois de suite, à la seule fin, puisqu’ils se croyaient en sécurité, de leur affubler un zéro, m’impressionna beaucoup.
Nous en parlâmes donc entre collègues.
De l’avis de mon jovial collègue le Maître de conférences triste, ne lui manquait plus, pour être parfaite, que la cravache et la combinaison en latex. Ce fut, curieusement, à cet instant, que mon ami le PRAG détestable fit irruption – de là à se prononcer sur quelque amalgame douteux…
Enfin… Comprenez quel regret me submergea de la voir partir, une fois son contrat d'ATER terminé !
Puisque dotée tant de fourberie dès ses jeunes années, je ne doutais aucunement que la chargée de TD mesquine occupât un jour un poste de Maître de conférences, lequel permettrait qu’elle exploitât au mieux l’étendue de ses compétences pédagogiques.
Pr. Fourbe
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