Bonjour à tous,
Face aux critiques quant à ma présumée sévérité, considérée par certains (collègues comme étudiants) comme l'instrument de satisfaction de mon – je cite – "immense sadisme", il me fallait, pour ces broutilles que peinent à comprendre les humains normaux, que je me levasse de mon fauteuil et daignasse prononcer quelques paroles.
Un acte rare, ma noble personne éayant peu de symapthie à l'égard des banals échanges de couloirs, parfois osément appelés "débats", lesquels risqueraient de me confronter à la médiocrité.
Un acte rare, ma noble personne éayant peu de symapthie à l'égard des banals échanges de couloirs, parfois osément appelés "débats", lesquels risqueraient de me confronter à la médiocrité.
Voilà, le mot est lancé. Médiocrité.
Je vous fais part de ma définition sur le sujet.
La médiocrité est l'un des deux choix, l'une des deux grandes orientations que propose l'existence.
C'est d'ailleurs le choix le plus aisé, puisqu'il suffit de se laisser porter par le courant, autrement dit par le flot de bêtise que constitue le banal.
Ce n'est qu'à force d'efforts acharnés, de volonté et de persévérance, que nous pouvons nous défaire de ce carcan indigne de nos capacités. D'autant que les médiocres se tiennent toujours en travers de la route du Savoir, diffusant leur ignorance au gré de cris et de protestations scabreuses.
C'est pourquoi accepter d'exposer mon savoir à des étudiants de Licence est soumis à plusieurs conditions, dont le silence constitue l'élément central.
En effet, des préjugés grotesques et des fadaises sont si souvent énoncés à ce niveau qu'elles pourraient polluer ma pensée et affecter mon Excellence.
Et ma sévérité, dans tout cela... ?
Elle n'est pas injuste, elle n'est pas – contrairement à celle du PRAG détestable – le produit d'un certain sadisme de ma part. Elle n'est que le reflet de l'exigence nécessaire à l'atteinte, au frôlement, du bout des doigts, de la Connaissance par l'étudiant.
Et, peut-être, s'il s'imprègne suffisamment de mon aura, d'une future ascension vers l'Excellence.
Pr. Fourbe
La médiocrité est l'un des deux choix, l'une des deux grandes orientations que propose l'existence.
C'est d'ailleurs le choix le plus aisé, puisqu'il suffit de se laisser porter par le courant, autrement dit par le flot de bêtise que constitue le banal.
Ce n'est qu'à force d'efforts acharnés, de volonté et de persévérance, que nous pouvons nous défaire de ce carcan indigne de nos capacités. D'autant que les médiocres se tiennent toujours en travers de la route du Savoir, diffusant leur ignorance au gré de cris et de protestations scabreuses.
C'est pourquoi accepter d'exposer mon savoir à des étudiants de Licence est soumis à plusieurs conditions, dont le silence constitue l'élément central.
En effet, des préjugés grotesques et des fadaises sont si souvent énoncés à ce niveau qu'elles pourraient polluer ma pensée et affecter mon Excellence.
Et ma sévérité, dans tout cela... ?
Elle n'est pas injuste, elle n'est pas – contrairement à celle du PRAG détestable – le produit d'un certain sadisme de ma part. Elle n'est que le reflet de l'exigence nécessaire à l'atteinte, au frôlement, du bout des doigts, de la Connaissance par l'étudiant.
Et, peut-être, s'il s'imprègne suffisamment de mon aura, d'une future ascension vers l'Excellence.
Pr. Fourbe
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